Geste esquissé
bat une mesure diabolique;
Quelque danse élancée
dans une atmosphère onirique;
Un jeu sans sens.
Lancés dans une transe,
ronde aux atours de fête,
s'étourdissent les têtes;
les corps flanchent,
se retrouvent à terre,
sur les planches,
bientôt sans air,
la musique change.
Les robes s'assombrissent;
quelle valse étrange!
Les anges frémissent,
Lankou vient pour l'homme
sans passer par Rome.
Le froid s'insinue,
la vie fuit ce qu'elle fut,
les coeurs s'endurcissent,
bien trop lisses.
L'âme surnage;
elle flotte au dessus des nuages,
sans jamais atteindre
le lieu des rêves.
ps: petit effort de travail . Je dédicasse ce poème à quatre versions à Guillaume J . Promis un jour il y aura 50 versions avant d'arriver à la publication...
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