Accéder au contenu principal

3 en 1

je t'ai écris des poèmes
ça ne veut dire que je t'aime

 / 

Les volets claquent,
la fenêtre se brise,
l'air froid entre en moi.
A la surface du lac,
l'eau se s'irise,
je me noie.

 / 

L'écriture des poèmes
ne se suffit de rimes ;
papier nourri de sang
ne souffre d'aucun rang
préférant que tu trimes,
il se contente d'aucun thème.

 / 

je t'ai regardée tout l'été
ça ne veut dire que tu me plais

 / 

éphémère
tu m'enserres.

 / 

des vers sans foi ni loi
c'est de la poésie spaghetti

 / 

je ne respire plus au son de ton prénom
ce n'est qu'une histoire de ton.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

esprit perverti

pas de gâchis je t'oublie j'ai violé ton âme posée sur du papier glacé être entière, une femme un instant, t'embrasser demain je te fuis quelques instants fugaces lasse je te remplace je te possède déjà te détruirai d'un mouvement rester indifférent si un amour a vécu c'est l'éteindre mon destin il ne reste rien tu gis ouverte cassée il suffit d'un mot il suffit d'un geste toutes tes peurs seront réveillées quand contre moi tu pestes je suis à l'abri des maux Mon ceur en moi plus sec et froid que les vents du Morvan mes pensées vont t'assécher. Accuses moi de cruauté c'est ainsi que je suis née tes blessures, tes douleurs les secrets de tes silences la tempête me les murmurent tu es à la merci d'un être sans pitié je reprends le court je figes mon regard il est déjà trop tard tu entres en délire tu as cru à mon amour la souffrance physique serai préférable à l'emprise insupportable de mon espri...

L'éolien / Les hauts liens

Les masques volent. Le maquillage coule. Tes yeux contre les miens, Poussés par Eole. Nos coeurs se soûlent, Cherchant leurs liens. Les danseurs s'affolent. Le décor s'écroule. Mon corps contre le tien. Méphisto brûle nos étoles. Lumière, vent et houle. Avance, Luciférien.

Souffrance: Cambriolé-Cambrioleur (shuffle de mots)

Tu m'as vraiment fait sursauté. Le bruit était si fort. Je tremblais Je suis devenue comme une clochette. Le coup était si dur. Je vibrais. J'étais nue. Le souffle était si intense. j'ai eu des frissons. C'était si froid. J'ai eu peur de toi. Le rouge était si angoissant. J'en ai pleuré. Le sang a tant coulé. Je souffrais. Tu m'as vraiment tué. C'est la pluie dans une rivière. Le rythme continue. Ce n'est qu'un cambriolage. La ville vit ce matin. Quel jour ensoleillé. Je n'ai aucun endroit où aller. Je peux faire le mal. Toujours penser que c'est bien. Je vis souvent dans la rue Je dois voir les choses à ma manière. Je suis un survivant. Voler pour vivre. Je suis toujours là. C'est pas facile. Je survole l'autoroute pour l'enfer. A.s