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Articles

Affichage des articles du janvier, 2009

Stress d'amphis... Amphis je vous hais

Pire qu'un meeting socialiste, l'organisation des listes! Je pète un cable! Je veux être à ma table! l'étudiant est un être errant sous une caméra cachée d'une administration mal pensée le poussant à bout de cran Son crâne devient chaud Il se ressert un verre d'eau pour l'oxygène dans son cerveau. Plein le dos! La méthodo docu les doigts dans le B I P Base d'interrogation des périodiques tapotes sur ton clavier, le rythme de ce que tu devrai avoir fait. Glander, cet instant unique... La vie universitaire finie chaque année le cul par terre la tête retournée

Voeux pour 2009

Je vais faire une exception de début d'année 2009 pour vous souhaiter mes meilleurs voeux pour l'année à venir en vous présentant mon coup de coeur de la semaine. Mais, avant de souhaiter quoi que ce soit, j'espère que vous pourrez faire un beau bilan de votre année 2008. Voici une méthode de mesure prise du film Rent. Five hundrend twenty five thousand six hundred minutes Five hundrend twenty five thousand moments so dear Five hundrend twenty five thousand six hundred minutes How do you measure, measure a year In daylight, in sunsets, in midnights, in cups of coffee, In inches, in miles in laughter in strife, In Five hundrend twenty five thousand six hundred minutes How do you measure a year in the life (chorus) How about Love how about love how about love measure in love seasons of love seasons of love Five hundrend twenty five thousand six hundred minutes Five hundrend twenty five thousand journeys to plan Five hundrend twenty five thousand six hundred minutes how do you

Valse étrange

Geste esquissé bat une mesure diabolique; Quelque danse élancée dans une atmosphère onirique; Un jeu sans sens. Lancés dans une transe, ronde aux atours de fête, s'étourdissent les têtes; les corps flanchent, se retrouvent à terre, sur les planches, bientôt sans air, la musique change. Les robes s'assombrissent; quelle valse étrange! Les anges frémissent, Lankou vient pour l'homme sans passer par Rome. Le froid s'insinue, la vie fuit ce qu'elle fut, les coeurs s'endurcissent, bien trop lisses. L'âme surnage; elle flotte au dessus des nuages, sans jamais atteindre le lieu des rêves. ps: petit effort de travail . Je dédicasse ce poème à quatre versions à Guillaume J . Promis un jour il y aura 50 versions avant d'arriver à la publication...